mercredi 30 mars 2011

Bien s'alimenter pour se protéger des retombées radioactives de Fukushima

Depuis le séisme et le tsunami qui ont touché le Japon, une question récurrente se posait dans l’Hexagone ; le nuage radioactif de Fukushima pouvait-il nous atteindre ?


 D’abord j’aimerais adresser toutes mes condoléances et mon soutien au peuple japonais devant l’ampleur de la catastrophe planétaire dont nous ne pourrons que tirer des leçons.
De notre coté cet évènement majeur nous faire réfléchir sur l’utilisation du nucléaire dans notre pays, qui en produit bien plus que ses voisins, afin de leur en revendre.
Cela nous permet aussi de revenir sur ce qu’il s’est passé en 1986, et de réagir par rapport à une situation qui s'installe pour quelques temps.
On peut  bien mieux s'informer maintenant grâce au web -qu’en 1986- sur les fameux nuages qui nous survolent, et grâce aux blogs et sites indépendants réclamant la transparence sur les accidents nucléaires (Pétition de la Criirad à signer).

 Même si on nous a d’abord affirmé que la France ne serait aucunement touchée par cette lointaine émission, le nuage de Fukushima nous atteint de toute façon, à des doses infinitésimales semble-t-il, mais peut-être pour quelques jours, semaines ou mois.

Alors, quelle est la conduite à tenir en cas de catastrophe nucléaire ? Suffit-il de rester chez soi les fenêtres closes ? Quelles sont les substances ou aliments susceptibles de nous aider dans ce cas de figure ?

J'ai trouvé un doc pdf qui circule beaucoup sur le web et je souhaite vous faire partager ses conseils. Si vous êtes pressé de le lire, rendez-vous de suite à la fin de ce post!

Son programme tient en trois points :

1. Saturer notre corps de certains minéraux; l’absorption de substances radioactives est ainsi très limitée. Le plus connu est l’iode, mais seuls les riverains et le personnel militaire ont accès à des pilules d’iode.  Son absorption empêche la thyroïde-ainsi déjà saturée en iode- de fixer l'iode radioactif.  

Par contre, se pose la question délicate du dosage : « un milligramme d'iode par jour pour un enfant et cinq milligrammes pour un adulte réduirait de 80% la quantité d'iode radioactif accumulé dans la thyroïde, lors d'une exposition directe à l'iode-131. Cela revient à prendre 5 à 10 comprimés par jour ou une ou deux cuillère à café de granules de kelp. À titre préventif un adulte a besoin d'environ un milligramme d'iode, ce qui équivaut à 15 grammes par jour de dulse ou d'une autre algue. Les autres aliments riches en iode sont la bette, les feuilles de navet, l'ail des ours et l'oignon, le cresson, les courges, les feuilles de moutarde, l'épinard, l'asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque et l'ananas. »  

Comment savoir si notre thyroïde a besoin d'iode? On peut vérifier à l'aide de teinture d'iode si la thyroïde est bien équilibrée en appliquant l'équivalent d'une pièce de monnaie sur le bras ou le ventre de teinture achetée au préalable en pharmacie. Si la teinture d'iode disparait rapidement alors on est en hypothyroïdie et tous les jours on doit refaire l'expérience. Lorsque la teinture d'iode reste visible plusieurs jours à la surface de la peau alors la thyroïde va bien.  

N’oublions pas le CHLORURE DE MAGNÉSIUM : 1 sachet de 20 g dans 1 litre d'eau (algue en paillettes NIGARI). Dose maxi : 40 ml toutes les 3 heures pour 1 adulte de 65 kg environ. Pour les enfants et les animaux, faire 1 règle de 3 pondérale. Il est connu pour être un grand chélateur de la radioactivité. C'est 1 pendant très yang (amer-salé) qui compense le yin de la radioactivité. Il peut être utilisé simultanément en interne, et en externe pour les brûlures provoquées.
Infos trouvées sur ce site.



 2. Le principe de chélation : certains aliments (ou médicaments) vont attirer à eux les matériaux radioactifs et les extraire de l'organisme et les évacuer par les intestins ou urines.
Le DMPS et le DMSA sont deux chélateurs chimiques mis au point après la catastrophe de Tchernobyl. Ils permettent de drainer les métaux lourds hors du corps et notamment l’uranium. (Infos trouvées sur ce site).

Cependant, il vous sera très difficile de vous en procurer en France, le 1er étant interdit, et le second autorisé seulement dans des cas d’intoxication aiguë et récente aux métaux lourds, lorsqu’on retrouve leur trace dans les urines. 
La chlorella, une algue dite "chélatrice" est en vente libre.

Il est très facile de se procurer du charbon activé :
CHARBON VÉGÉTAL SURACTIVE : 3 c à soupe par jour mais on peut augmenter les doses en cas de nécessité. A jeun de préférence, boire beaucoup d'eau pour éviter la constipation. il a la capacité de tout absorber, tout drainer, y compris les produits radioactifs. C'est le remède roi des centres antipoison. (d'après Dogna, il élimine aussi le mercure, le plomb, les insecticides, les herbicides, les hormones, et même certaines substances radioactives)

L'homéopathie permet également d'éliminer certaines substances: en remède homéopathique, il existe rayon X 9 ch et 15 ch, radium bromatum 9 ch et césium 7ch ou 9ch à prendre deux ou trois fois par jour pendant un mois voir moins, prenez conseil auprès d'un médecin homéopathe bien sûr!


3. Maintenir dans notre organisme un niveau élevé de nutriments antioxydants et d'enzymes qui vont annihiler les radicaux libres créés lors de l'exposition aux radiations.   
Il existe certains aliments et plantes telles que le Ginkgo Biloba  qui protègent de manière spécifique contre les effets généraux des radiations ou des traitements aux rayons.  


Suivons donc l’adage d’Hippocrate : « Que ton aliment soit ton médicament ».   
D’autant plus que nous disposons d’aliments riches en iode, tels que les algues.   

Le MISO : dissoudre 1 c à café de miso dans un bol d'eau chaude. On obtient une sorte de soupe de bouillon-cube. Prendre 4 soupes par jour. C'est du soja fermenté vendu en diététique sous forme de pots ou de bouillon-cube. Il se garde indéfiniment, à toujours avoir en réserve. Son histoire remonte à la 2ème bombe atomique à Nagasaki, où une clinique, dirigée par un médecin maître Zen, s'est trouvé en zone rouge. On était selon l'endroit, soir carbonisé, soit ionisé, ce qui amenait une mort à petit feu par leucémie. Cette pathologie étant du type YIN, ce médecin pensait qu'il serait utile de donner quelque chose de très yang aux malades. Toute la clinique fut donc mise au régime miso et tout le monde fut sauvé.


Voilà, je me suis permis quelques ajouts et si ce texte vous a intéressé je vous invite à le lire en entier et à imprimer ce très bon document intitulé Se protéger des dangers des émissions radioactives grâce à l'alimentation pour plus de conseils d'alimentation anti-radiations.

Et pour suivre au jour le jour des nouvelles du japon, ainsi que les mesures effectuées en France, je vous conseille ce très bon blog.

Ainsi que ce site très explicatif. Terminons sur note d'humour (noir):






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